La gauche émasculée et battue dénonce la violence de la campagne américaine
8 novembre 2024 18:55, par One step beyond
L’avortement a une chronologie.
Lors de sa dépénalisation en janvier 75, la « science » nous a présenté l’embryon comme un amas de cellules non viable et non humanisé.
Les femmes qui avaient recours à l’avortement n’étaient pas forcément des « salopes limées par des noirs derrière une benne à ordure », selon les propos volontairement outranciers tenus dans la vidéo, mais souvent des jeunes filles/femmes placées entre un romantisme d’un autre âge et l’injonction de « jouir sans entrave ».
N’oublions pas la place des hommes dans ce processus, l’accès aux femmes sans conséquences, sans crainte d’une grossesse.
Avec un rapport à la pilule encore mal géré.
Puis l’embryon a été présenté comme un têtard, donc toujours déshumanisé, et l’avortement comme un droit progressiste.
Tout cela dans une France en voie totale de déchristianisation.
Aujourd’hui, il n’est plus possible d’ignorer la nature réelle du petit être humain en formation, de sa relation à sa mère, de sa peur, de sa souffrance lors de l’acte d’arrachement et de mort.
Mais la décérébration, par le système de mort qui nous domine, des femmes et des hommes qui ont recours à l’avortement, alors que tant de possibilités de ne pas enfanter leurs sont offertes, est l’auxiliaire d’une tuerie infâme et sinistre.
Injustifiable.