Honte et culpabilité : l’étrange campagne marketing de Kamala Harris
31 octobre 2024 17:04, par cog
La propagande pour Kamala Harris compte sur la falsification de préférence (je traduis littéralement), concept cher à Eric Weinstein, créateur de l’intellect dark web, la nouvelle sécession. Les gens, ici, les femmes, voteraient dans l’isoloir Kamala alors qu’elle prétendent en public, devant leur mari, soutenir Trump. C’est faire preuve de mépris pour les femmes comme, en France, quand les radicaux socialistes refusaient le votes au femmes car elles voteraient comme leur curé.
Le concept de falsification de preference est pertinent mais il jouera dans l’autre sens. La propagande d’intimidation des media est telle que bien des gens disent, dont dans les sondages, qu’il voteront Kamala, alors qu’ils resteront chez eux ou voteront pour Trump, le moins mauvais des deux.
Et on sera surpris de la différence entre les sondages et la réalité des votes impossible à masquer par des trucages.
Et on glosera sur des interférence russes imaginaires au lieu de se poser la question, pourquoi le parti démocrate à choisi un candidat pour son sexe, sa prétendue race au lieu des ses compétences ? Cette fois-ci, on choisit non seulement une femme, mais une femme prétendument noire. Même stratégie, même résultat prévisible.