On ne peut pas appliquer le droit de la presse au particulier.
La loi à été réécrite pour le permettre (depuis 2014, loi Cazeneuve)
mais sur le fond, c’est n’importe quoi.
Un personne ou un réseau social ne devraient pas être considérés
comme "presse" ou agence de nouvelles. (d’information).
Cela rétablit le délit d’opinion sous couvert de loi de la presse.
On voit bien que le "pouvoir" est désorienté, aux abois,
pour ne pas dire impuissant.
Si au moins il y avait une échelle , une audience confidentielle
ne saurait être de la presse.
Quand à la menace terroriste, ou l’appel à la violence,
c’est totalement distinct de ce brouillard qu’est
"l’apologie de terrorisme".
Quand on pense que les gens applaudissent les beaux braquages,
les meurtres, etc (faites entrer l’accusé, legend, etc...)
Mais on a pas le droit de souligner le caractère exceptionnel
de telle ou telle action "terroriste" ?