Alors oui, mais.... et la boucle bouclée.
Le reportage de Lucet, Viols d’enfants : la fin du silence ?, est tout de même extrêmement troublant.
Extraits de la page wiki :
"Pour maître Monique Smadja-Epstein (qui défendit Jacques Mesrine et Alain Caillol), l’avocate du père des enfants, c’est leur imagination et l’influence de bandes dessinées comme Tintin qui sont en cause."
"Le reportage évoque l’existence d’un réseau pédophile qui bénéficierait de protections au sein des instances dirigeantes de la justice et de la politique française (thèse développée dans le reportage) mais fait aussi part de doutes des magistrats chargés de l’affaire sur la réalité des allégations."
"Les témoignages et dessins des enfants, entrecoupés de pleurs, décrivent des rites pédo-sataniques : hommes et femmes en robe blanche ou rouge à bords dorés, arborant sur leur poitrine le symbole d’un triangle dans un cercle, tenant parfois des crucifix, allant jusqu’à décapiter des enfants devant eux et à placer leurs têtes sur des piques, autour d’une grande statue centrale. "
Autant le "banquier" peut être un bon acteur, autant les enfants du reportage, âgés de 10 et 12 ans...