Je l’aime bien Trump, à première vue, un ennemi de l’oligarchie mondialiste. Il a dit une belle chose lors de cet entretien : on ne peut pas être un pays à moins d’avoir des frontières. Par contre, je le déteste, ce n’est pas du tout un ami. Il prend la défense de l’état d’Israël (une 6ème puissance nucléaire qu’il omet de dire), ses suprémacistes de confessions juives qui commettent un génocide sur le peuple palestinien. Cela ne le dérange pas, c’est extrêmement grave, un sale type sans cœur, en fait. Il ment sur Poutine. Poutine n’a pas commencé la guerre, il le sait, elle est menée contre la Russie par son pays via l’Ukraine depuis 2014. Il croit également que les États-Unis sont légitimes à être les gendarmes du monde. De faire la guerre au monde entier, des pays détruits, des peuples déshérités, c’est la justice, pour lui. Il est trop bizarre quand même, un héritage états-uniens, de ceux qui ont volé la terre des vrais américains, les Indiens d’Amérique, les Apaches, les Sioux, les Comanches en en commettant un génocide. Ne pas oublier, s’il vous plaît. Pensons à Géronimo, par exemple.