Thomas Jolly, le directeur artistique de la souillure de la France, s’explique
29 juillet 2024 14:39, par Miville
Cette parodie de la Sainte Cène jouée sous prétexte de célébrer le dyonisisme (dont ils n’entendent que dalle : Dionysos enseignait l’atteinte d’états d’ivresse et d’extase par un usage modéré, contenu du vin et des autres plaisirs de la vie sur la toile de fond d’un banquet rustique, sans traiteur coûtant un pognon de dingue, alors que ce qu’on nous montre ce sont des poivrots et des camés attristés et attristants qui vont consommer, grossir et s’encrasser les artères cérébrales jusqu’à se suicider comme dans le film La Grande Bouffe) ...
sera la dernière scène de Paris : toutes les scènes de théâtre, de boulevard, de chanson, de variétés de Paris vont fermer les unes après les autres dès cet automne comme des feuilles d’automne faute de spectateurs et suite aussi sans doute à la prédominance des politiciens à grosse clientèle islamiste qui feront fermer les lieux de plaisir et de culture quels qu’il soient comme contraires au salut de l’âme et/ou de la planète. Et surtout Paris est devenu désormais une anti-référence en matière de culture, de mode, de style de vie, de goût au niveau mondial.