En bonne logique libérale, le sport de haut niveau aujourd’hui, fabriquent des machines. Pour être performant aujourd’hui, il faut quasiment être une machine, et pour être une machine il faut être con... comme une machine.
Question de rentabilité : quand on a des mecs passionnés, on en fait ce qu’on veut pour peu qu’ils assouvissent leur passion mais surtout des machines extrêmement rentable. Le revers de la médaille c’est la connerie du sportif de haut niveau, surtout quand il s’essaye sur des sujets politiques.
Comme quoi l’apparence de la virilité n’est pas la virilité... arrêtez de réduire votre virilité à une posture identitaire, chers mâles français blancs. La preuve, c’est qu’on vous retourne comme des fiottes au moindre chantage au racisme. La virilité aujourd’hui, elle est surtout conceptuel et quand on mesure l’ampleur de la tâche, elle s’accomplit souvent dans l’humilité.
La passion témoigne d’un manque de virilité (ou d’un excès de virilité, comme l’ont dépeint parfois les myhtes). Mais dans les deux cas, c’est une absence de virilité, qui peut être circonscrite à moment de sa vie, à un instant, mais non permanente. Après on grandit. Surtout quand on comprend ce qu’est le sport et un sportif digne de ce nom (fût-il de haut niveau ou pas).