Françoise Hardy, encore belle, hâve et pâle comme une échappée de prison suite à sa grave maladie, affronte la gauche bien-pensante en 2015 dans une émission "On n’est pas couché". Ruquier reste taquin, sans plus. Mais la Salamé crisse de rage avec l’absence de finesse qu’on lui connaît.
FH en début d’émission ose s’attaquer à un pornographe déguisé en écrivain à grimaces équivoques qui prétend que l’amour, c’est une suite de cochonneries à décrire par le menu. Que n’a-t-elle pas dit là ! de la pure Hardyesse ! On ne la laisse plus parler.
Le perfide Ruquier riposte en se moquant du livre de FH, dans lequel elle donne un descriptif des soins douloureux, même les plus intimes, qu’elle reçoit de la part de soignants, ce qui est intéressant, situe la médecine, et met en garde le public.
Et voilà toute cette gauchiasserie, au moins six personnes, avec cette lueur mauvaise dans le regard bien caractéristique de sa caste, qui pouffe, ce qui est profondément indécent, face à une grand malade, âgée de surcroît et douée de raison.
Le contraste absolu avec la délicatesse de FH, que ces braves gens n’aiment pas trop apparemment.
Une bonne raison d’aimer FH, en conséquence qui pourrait leur chanter :
"Oui mais moi, je vais seule, par les rues, l’âme en paix
Oui mais moi je vais seule
Car personne chez Ruquier ne m’aime".
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