Le clientélisme, les réseaux, la mafia, les conflits d’intérêts et l’omerta qui découle de cela sont le socle même de la culture marchande. Il existait dans la Rome Antique republicaine des lois pour pour juguler ceux qu’on appelait "potentes" afin que leur fortune ne devienne pas (par le clientélisme) un danger pour la res-publica...c’est la lutte entre la Loi qui cherche l’équilibre et la marchandise qui cherche sont intérêt. Notre époque, c’est la grande victoire de la marchandise, jusqu’à ce qu’elle crée de tel déséquilibre pour faire revenir la nécessité de la Loi. Il n’y a rien de juste dans cette époque.
Et une des pires conséquences de tout ça c’est que, culturellement et socialement, la majorité finie immanquablement par considérer ceux qui "sorte", ceux qui "arrive" comme étant ceux qui réussissent. (Quoiqu’il y ait peut-être un léger changement là-dessus ces tout derniers temps, mais vraiment très léger... !)
Le cinéma c’est une pure production de la marchandise, de l’image, reprise parfois par certains artistes à d’autres fin.
La culture de la marchandise c’est la Réussite, la culture de la "Loi" c’est la Victoire. Mais qui comprend encore aujourd’hui ce que signifie vraiment être victorieux...