On a du mal à croire, tant les lobbys juifs et le cinéma, nous ont culpabilisé sur la période de l’occupation et de la collaboration, qu’une telle violence raciste, haineuse et meurtrière soit promue, institutionnalisé et appliquée dans cet état depuis 1948, par des « rescapés de la shoah » qui nous sont présentés comme des pianistes virtuoses, médecins dévoués et doux philanthropes.
La génocide à Gaza détruit le mythe.