L’imposture et la manipulation repose sur le contrôle du vocabulaire, pour nous déposséder des termes qui peuvent nous permettre d’opposer une résistance, et pour nous forcer à utiliser les armes terminologiques de l’ennemi pour nous exploser le libre arbitre et la capacité de jugement.
Quand on y réfléchit, en réalité il n’y a pas de "femme-trans". Un homme qui se met du rouge à lèvres, une jupe, des faux ongles et une perruque, c’est "un homme qui se met du rouge à lèvres, une jupe, des faux ongles et une perruque", ce n’est pas une femme-trans, et encore moins une femme.
Le fait de nous interdire de dire que c’est "un homme qui se met du rouge à lèvres, une jupe, des faux ongles et une perruque" n’en fait pas une femme, ni une femme-trans, tout comme un bœuf aux hormones ne sera jamais une vache.
En utilisant le terme "trans" nous acceptons de croire au Père Noël progressiste, même si on ne lui écrit pas de lettre. Moi désormais je coupe court à toute conversation en disant qu’un homme hormoné qui se maquille et met une minijupe c’est un homme hormoné qui se maquille et met une minijupe et en aucun cas une femme.
Le transisme est une forme de violence psychologique pour détruire les capacités de discernement.
En réalité il y a les femmes, et il y a ceux qui acceptent d’imaginer une femme-trans en voyant un homme hormoné-maquillé ; un déni de réalité reste un déni de réalité que ce soit sous hormone, sous le bistouri, sous la contrainte ou sous la menace.