Paupérisation : les Français se plaignent mais ne se révoltent pas, ils s’adaptent
27 avril 17:37, par Sedevac
Ce genre d’article passe à côté de l’essentiel, comme d’habitude. Les questions de salaire sont secondaires : le plus important c’est le patrimoine. Le Français est un esclave riche, comme du temps de l’Empire Romain, avec du pain et des jeux, mais aucune liberté ni aucune perpétuation familiale, si ce n’est de sa condition d’esclave. Même un Africain est structurellement plus riche que le Français : il possède un patrimoine qu’il peut transmettre, des enfants qu’il peut éduquer, une famille qui peut l’aider en cas de pépin... Le Français, lui, dépend entièrement de l’État. C’est pour ça qui flippe dès que l’État ne lui donne pas sa becquée. Il a peur de se retrouver à la rue. Le Français qui s’est fait spolier depuis la Révolution (première des "révolutions colorées" et authentique colonisation) avec le Code Civil de Napoléon, il est à poil, sans filet, sans patrimoine, sans outil de travail, sans famille, sans traditions, sans profondeur, sans perspectives, sans ressort moral. S’il est amorphe, comme on le déplore, il ne faut pas chercher plus loin.