@ Surnom
Comment peut-on se définir musulman tout en professant grâce et louange à un monarque à la vie dissolue, partageant sa couche avec des mâles et pactisant avec le pire ennemi que la terre ait pu engendrer, entendant sans frémir engloutir l’islam et la chrétienté dans un puits sans fond ?
Peu importe les dissensions nées récemment dans le voisinage et qui finiront par s’estomper, puis s’éteindre au détour d’un accord probable faisant office de compromis satisfaisant et qui aboutira naturellement au raffermissement des liens de fraternité.
Il y a aussi des limites qui ne peuvent être franchies sans conséquences funestes.
Votre allégeance à un monarque devenu la risée du monde de la raison a non seulement chuté dans la disgrâce et le reniement, mais il a choisi son camp en pactisant avec l’ennemi mortel des nations sans tenir le moindre compte de l’opinion de la population marocaine et, pire encore, reniant la religion de l’état, du pays, de la nation et en provoquant une situation inconcevable à tous les points de vue de la transcendance morale, vertueuse, spirituelle et humaine.
Je vous invite avec humilité à vous projeter au plus loin en considérant la vue d’ensemble et en sous-pesant les éléments réunies et les effets que ces derniers produiront dans les temps prochains tout en y incluant les générations qui viennent.
La position du sage, Youssef Hindi, est celle qui est imbibée par la lumière de la connaissance, de la mesure et du salut.
Je tiens cet homme en haute estime ainsi que quelques rares autres qui ont témoigné d’un courage salutaire et d’une abnégation à toutes épreuves.
Alain Soral et Laurent Guyenot sont de ceux qui sont pétris de qualités fécondes.
Qu’ils soient bénis et que Dieu les aide à se débarrasser une fois pour toutes des petits calculs un tant soit peu mesquins et qui ne s’accordent pas à leur état d’esprit comme à leur probité intellectuelle, étant entendu que l’état de sainteté n’est pas dans l’homme mouvant et pensant.