Si l’europe n’est pas une colonie de l’uncle, ça y ressemble fortement.
Tenez ! entre nous prenez le cas Orban juste au hasard.
L’administration Biden a exclu la Hongrie des sommets sur la démocratie de cette année et du dernier, et les États-Unis ont sanctionné la Banque internationale d’investissement (IBB) sous contrôle russe à Budapest en avril ; La Hongrie a été forcée de se retirer un jour plus tard.
Les États-Unis envisageraient de sanctionner des personnes proches d’Orban et du gouvernement hongrois.
Selon le Centre d’analyse des politiques européennes , ce qu’il faut retenir des sanctions de l’IBB, c’est qu’il faut faire la même chose, c’est-à-dire essayer d’intimider tout le monde pour qu’il se soumette contre l’axe du mâle.
Une plus grande partie de cette pression continue de s’exercer sur Budapest non seulement pour accepter les sanctions, mais aussi pour couper ses liens énergétiques avec la Russie. La présidente hongroise nouvellement élue, Katalin Novák, a été mal accueillie lors de sa première visite en Pologne l’année dernière. Selon VSQUARE , la rencontre avec le Premier ministre polonais Mateusz Morawiecki ressemblait davantage à un interrogatoire guépéou.
Et même l’UE la maison mère s’en inquiète, l’UE envisagera demain (1er juin) de priver la Hongrie de la présidence tournante de l’UE, qu’elle devrait exercer l’année prochaine.
Entre autres fonctions, le pays qui assure la présidence représente les gouvernements de l’UE dans les relations avec d’autres organisations internationales et planifie et préside les réunions des ministres du gouvernement de l’UE et d’autres organes.
L’Allemagne a cité le manque de soutien de la Hongrie à l’effort de guerre de l’Ukraine comme raison de ses doutes.
N’aiment pas les présidents populistes ,,nein atch pas bien !