Encres de tatouage : une bombe à retardement sanitaire
25 avril 2023 10:12, par sundance
En temps qu’ancien vrai dur à cuire ayant purgé 12 années de cachot en tout, les tatouages représentaient une part de notre vécu, désormais n’importe quelle fiotte se tatoue. Nous ne connaissions pas les couleurs, ni les machines à tatouer, ni l’encre d’ailleurs. Pour se faire nous brulions du plastique pour récupérer le noir de fumée et ensuite à mélanger avec du savon, champoing, ou autres. Pour piquer aiguilles et stylo bic comme support. N’oubliez jamais que la prison est un Zoo dans la jungle et comme le dirait l’autre : c’est à Fresnes que Fleury la Santé !!!