L’intervention est magnifique, toutes ces distinctions sont de niveau soralien, mais ce qui me frappe c’est que comme d’habitude les fondamentaux ne sont jamais dits : la drague est un truc terrorisant : je rappelle qu’il s’agit d’aborder cet être très social à la beauté surnaturelle pour aller lui touiller cet organe innommable et puant qu’elle a entre les jambes et ceci dans une pure négation de ça : il ne faut surtout pas lui en parler. Tout ça n’a aucun sens et c’est fait pour ça : la sexualité est une sélection c’est à dire une élimination : il s’agit d’éliminer les gens qui pensent trop, qui vont être bloqués dans la terreur par ce mystère féminin et les cons qui eux vont agir mais sans pouvoir les faire rêver, sans pouvoir les séduire. La sexualité maintient l’espèce sur le rail de la pensée moyenne, comme elle fait pour toutes les espèces sur leur objet propre. Mon problème c’est que cette compréhension de la causalité profonde... que ça n’aide pas du tout à draguer LOL C’est là que le bouquin de Niels Strauss est fondamental.