Sous un soleil radieux, je suis à la fraîche en villégiature au pied d’anciennes vallées glacières, aux abords des forges de Vulcain françaises, qui démontrent que les phases de réchauffement climatique ou de glaciation font partie de ce monde qui ne date pas d’hier et que rien ne se fait en un jour : et déjà je me frotte les mains de l’hiver qui point, tant le Bougnat est un exemple de préparation à devoir affronter la longueur de sa durée, tant tout est organisé pour le premier cercle et tant certains de mes contemporains hautains (en terme d’inoculation, de Gilets jaunes, de russophilie, etc.) vont enfin morfler, que l’on va leur prendre ce qu’ils vénèrent le plus, leur oseille de classe moyenne haute, aisée pour certains, macronistes pour l’essentiel d’entre eux. À défaut de PQ, qu’ils achètent des Kleenex : j’ai même quelques masques inutilisés qui m’avaient été « offerts », à défaut de pouvoir me les imposer, à leur refourguer quand ils auront besoin de se faire une gratte : ce sera pour acheter, pour vendre, pour acheter... ou de quoi leur réchauffer le museau.
Bref, à la fraîche en pleine canicule hexagonale, je me réchauffe les mains pour parer l’hiver (voire deux) : l’idée étant de se faire cigale et de faire morfler les fourmis* quand la baise sera venue. Et déjà en leur empruntant, leur oseille ayant perdu 15% depuis l’intervention russe de février, ils sont bien content de faire du - 4. Et puis - 4, moi, ça me fait marrer : cela ma fait penser à Dieudo et son "Cancer". Comme ils le sont pour la société, l’on se soigne comme l’on peut...
J’ai malgré cela une pensée pour ceux n’appartenant pas à ces castes condescendant et qui ramassent déjà, faute de mieux.
*Fourmis déguisées en moutons.