Bon, on va faire simple. Les campagnes de vaccination "à peine forcée" ont simplement prolongé la durée de l’épidémie, faisant même apparaître des rebonds en pleine saison estivale ! et en faisant apparaître des variants venant s’ajouter aux variants du virus initial mutant naturellement. En plus de déclencher des "épidémies" de cas positifs (dont la grande majorité n’était pas gravement malade voire asymptomatique) mais qui ont entretenu la menace de conséquences médicales graves sur les personnes à risque, clairement identifiées depuis que l’Homme vit avec les grippes (à savoir : personnes âgées et personnes en mauvaise santé - immunodéprimées).
À cela vous ajoutez, à cause de cette vaccination massive, les cas de nouveaux malades (voire de morts) du fait des effets secondaires dans des tranches d’âge normalement épargnées par les grippes ; le maintien de l’interdiction gouvernementale faite aux médecins de prescrire des "vieux" médicaments ayant fait leur preuve dans le traitement des grippes, et enfin la poursuite du programme de paupérisation des services hospitaliers en continuant à supprimer des lits et en faisant démissionner ou suspendre des soignants du fait de l’obligation vaccinale.
Oui, le professeur Peronne a raison : quelles erreurs n’ont-ils pas commises ? Reste à déterminer si c’est par incompétence ou par malveillance ? Les deux mon général ?