Usul ne fait qu’accompagner la chute socio-économique et symbolique des fils de la classe moyenne blanche... les pauvres... ils se font dépouiller à tous points-de-vue, et ils en redemandent ! Leur dernier espace de liberté, c’est de boire un mojito à 15 euros serrés comme des lardons sur une terrasse vaccino-fliquée. Tous ces intellos de gauche urbains n’ont strictement aucun avenir socio-économique dans le capitalisme réinitialisé. Et ils luttent contre des fachos imaginaires dans les rues, alors que le fascisme réel s’installe au pouvoir sous leurs yeux.

De toutes façons, ça ne touche pas que les hommes. C’est toute la classe moyenne qui est liquidée : les femmes et le haut-du-panier immigré aussi. Ils masquent leur chute socio-économique et symbolique sous des mascarades écolos, féministes ou diversitaires. Peuvent plus se payer une voiture ? On roule à vélo, on est écolo ! Peuvent plus s’acheter une maison ? La location c’est la liberté ! Peuvent plus fonder une famille ? Bah, faire des enfants pollue la planète, et le couple c’est une prison ! Peuvent plus gagner leur vie même avec leurs diplômes ? Bah, la sobriété heureuse il n’y a que ça de vrai !