Toute l’imposture Climatique se révèle très simplement lorsque l’on lui applique la méthodologie oligarchique destinée aux autres outils de segmentation.
Par exemple, pour la part récente et "africanocentrée" de l’esclavage, nous avons : demandes d’excuses, demandes de réparation, et punition des totems et symboles de cette période. Bien entendu, dans le strict respect des dispenses permises par la définition partiale et opportunément changeante de l’antisémitisme.
Si nous étions dans un monde qui n’est pas gouverné par la duplicité et le mensonge, ceux là mêmes qui incitent les imbéciles à appeler à la satanique trinité Excuses-Réparations-Punition, seraient aujourd’hui en train de réclamer la tête des Totems du carbone.
Normalement, la pollution au carbone, si on accepte l’idée qu’elle existe, et qu’elle fait l’objet d’un consensus scientifique, a des responsables clairement identifiés : les sept sœurs, devenues 4 par cannibalisme, BP, Chevron, Royal Dutch Shell, ExxonMobile.
Pourquoi ne jette-t-on pas en pâture ces sociétés, et leurs bénéficiaires aux associations de propagande anti-réchauffistes ? Pourquoi ne leur demande-t-on pas à ces salopes du climat de rendre le grisbi pour en utiliser une partie à des fins de financement des énergies supposées propres ? Pourquoi n’appelle-t-on pas à salir les noms et à déboulonner les statues de leurs propriétaires ?
Il y a un petit cartel de personnes, clairement identifiées, qui s’est considérablement enrichi grâce à la pollution de l’or noir, si la fable climatique est vraie, les hérauts du climat devraient être entrain de les pointer du doigt et du droit, à l’instar de ce qui se fait pour les exploitants désignés (par les exploitants réels) de l’or noir de la monétisation de la souffrance humaine.