« Oui mais ça vous conviendrez, alors vous n’êtes pas politique et moi non plus, vous n’avez pas à prendre des décisions qui engagent la vie de chacun mais c’est très difficile parce que ça peut paraître très théorique, en pratique c’est plus difficile à décliner concrètement sur le terrain, non ? »
Réduire le professeur à un incapable de sa profession : les médecins font des choix de vie ou de mort : ils ont les moyens de sauver la vie tout comme de laisser la mort mettre fin à la vie. Ils sont le centre de la décision, qui s’élabore dans une reflexion bio-psycho-sociale avec les autres partenaires de la santé et avec le patient et sa famille. Ces choix sont aussi le fruits des connaissances pharmacologiques, médicales tout comme epistemiologiques.
C’est le dernier bastion a abattre après la Constitution et les juges, après Vatican II et l’église et après la famille et ses enfants.
En assaillant un image forte de la société, la phrase aboutit à la depersonnalisation de tous les citoyens et membres d’une communauté. Elle place l’adminitratif "déroutant" au centre de décision pour les autres sans en tenir compte des avis spécialisé : il actionne le "programme" qui comprends la diffusion et le discours de décision difficile pour la protections "que des fragiles" ! La personne en bonne santé n’est plus dans le jeu politique au solde d’une nouvelle minorité, qui n’attends que le dernier soupir libérateur et n’a pas participé à la décision.
Les base physiques du programme est la dépendance de nos vies aux systèmes bancaires (voir KK_Licra_45’000€), au déracinement de nos vies supplantée par les systèmes agro-alimentaires et à la dépersonnalisation des citoyens par l’infiltration des "lobbies" sur les lois nationales et par les lois supranationales (des objets exploités à la solde de la plutocratie !).
Aux hommes et femmes morts contre la Révolution française et pour sauver le Royaume et le tiers Etat : nous l’expérimentons tous les jours que vos âmes nous guident.