Je n’avale pas.
J’ai écouté jusqu’au bout, par respect, mais il y a peu à tirer du discours d’activiste malhonnête de Mme Schiappa, mélangeant de façon aléatoire l’histoire différente des pays à des articles de magazines mondains. C’est la marque même de ce mondialisme indigent.
Je retiens qu’il est fait référence à l’Afrique et à l’Inde où les avancées féministes sont téléguidées depuis les USA, avec ONG sponsorisées, manuels de subversion, médias progressistes et artistes locaux décadents.
Je remarque que son féminisme appuie sa construction sur des données socio-médicales déformées, un secteur gangréné par les intérêts privés. Ce qui montre que le féminisme est un projet financé pour imposer une défense artificielle de la femme et cacher les véritables pathologies causées par ce système capitaliste.
Le féminisme forcé donc forcené est un facteur déstabilisant, construit hâtivement et superficiellement et ne peut affecter durablement les sociétés. Un évènement réduisant l’apport financier comme une pandémie, un chômage de masse, remet rapidement en cause ce progressisme (inversion sémantique pour progrès) et son ingérence extérieure dans des pays très traditionnels comme l’Inde et l’Afrique.