[ Débat sur l’hydroxychloroquine - la neutralisation des manipulations se poursuit ]
Voici ce que déclare Didier Raoult dans l’entretien présenté en tête de page, de 10:12 à 12:19 (je mets en gras quelques passages significatifs) :
« Ce qu’on savait depuis le début, c’est que ni le [Remdésivir]... [NDR : c’est le Remdésivir (lien Wikipédia) mais D. Raoult prononce "Redemsivir" ; je suppose qu’il n’aime pas parler de dési[vi]r à propos de ce médicament...] ce qui a été confirmé, tout de même, dans toutes les études, le [Remdésivir] n’a pas sauvé une seule vie dans le monde. Donc ce qui était le grand objectif de cet essai [NDR : l’étude Discovery], c’était de montrer que le [Remdésivir]... non seulement il n’a pas sauvé une vie, mais même s’il avait sauvé des vies, il n’y en a pas de disponible en France, parce que tout le stock est réservé aux États-Unis, donc si vous voulez, il y avait un choix, là, qui reste totalement incompréhensible de mon point de vue.
Le Lopinavir, ça fait maintenant plus d’un mois qu’on sait que ça ne marche pas.
Donc il restait soit rien, soit la Chloroquine. L’hydroxichloroquine [NDR : une légère variante de la chloroquine, plus facile à administrer car moins brutalement toxique à l’accroissement du dosage], on verra... si les résultats sont honnêtes. On verra bien. Mais il vient de sortir une énorme étude chinoise sur 500 patients... qui [a] évalué l’hydroxychloroquine chez des gens [en situation] très grave, avec une très haute mortalité. Dans le placebo, la mortalité était de 48 %. Avec la chloroquine, elle est divisée par deux. Donc on verra bien, même si l’intention n’était pas très... »
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