La CPI ouvre une enquête sur les crimes de guerre américains en Afghanistan
6 mars 2020 22:23, par anonymeDes millions de Migrants armés se déferlant sur un continent où ils savent qu’il y a tout à prendre et c’est gratuit.
Les sauvages locaux qui se permettraient de résister seront abattus et les autres exterminés comme des animaux nuisibles par ces Migrants qui viennent avec des armes capables de tuer d’un coup plusieurs et à distance.
Que le plus fort gagne. Et ils ont gagnés.
Ca s’appelle maintenant la nation états-unienne d’Amérique.
Bien sur qu’ils ont la gâchette facile dans les gènes, et l’arme reste un objet usuel du quotidien.
Né par le génocide, cette violence ordinaire comme moyenne d’expression se voit au travers de leur histoire, bien sur, mais aussi dans tout ce qui sort de leur imagination (ou de ceux qui les manipulent à bon escient).
Quasiment pas de film où on ne tue pas. Et beaucoup où on ne fait que ça.
"Meutre, mort, détruire". "Born to kill" était leur étandard pour le Vietnam. Et ça n’a pas changé. Deux bombes nucléaires larguées sur la population civile... Des plans détaillés et très concrèts pour raser de même toutes les grandes villes de l’URSS, en son époque. (Ou on compte la puissance en nombre de morts "produits".)
Un état monstre qui cherche à dévorer le monde entier. Soumettre, exploiter, tuer...
Dollar d’abord.
La "nation" la plus féroce de la terre. Et elle ra réussi à se faire adorer pour cela. Pour sa puissance, pour son ignorance désinvolte, pour son amour de l’argent et pour ses appétits sans frein, pour sa vulgarité qu’elle a réussi à vulgariser, pour sa prétendu supériorité et pour son insolent refus à écouter et à comprendre "le reste du monde".
Bien sur, je parle de ce qu’on appelle "la nation", ce qui n’est pas le niveau individuel, où il y a évidemment des gens qui arrivent à penser autrement.
Mais ce dont il s’agit c’est d’abord la pensée collective, héritée d’un passé récent. Qu’elle soit sous influence sioniste - depuis longue date et peut être depuis sa naissance - n’arrage pas les choses, évidemment.
La bête charmante.
Beaucoup de ressemblance de forme (et de fond potentiel) avec Israhell. Sauf peut être le charme. Non, ça Israhell ne l’aura jamais. Tant mieux.