Conte de Noël : une fillette découvre le SOS de prisonniers chinois dans une carte de vœux
24 décembre 2019 14:32, par paramesh
cela me fait penser à un best seller de l’époque de la guerre froide les mains coupées de la taïga
Désespérant que leur sort fut jamais connu à l’Ouest, des Zeks prisonniers de Staline dans les années 30 se coupèrent les mains à la hache et les cachèrent dans une cargaison de bois à destination de l’Occident.
en fait dès le début du bouquin, on comprend que c’est une légende qui_ circulait dans les goulags, mais l’histoire a fait le tour du monde et tout le monde y croyait (propagande propagande)