la plaignante suédoise accusait l’Australien d’avoir engagé un rapport sexuel pendant qu’elle dormait et sans préservatif, alors qu’elle lui avait refusé tout rapport non protégé à plusieurs reprises

En d’autres époques ce genre d’accusation farfelue aurait été prise pour un canular et aurait suscité l’hilarité générale.
Quoi de plus naturelle et normale pour un homme que ces pulsion libidinales nocturnes qui nous poussent à pénétrer son épouse ou sa copine en pleine nuit ? Parfois même on ne s’en souvient même pas, c’était inconscient ! Si cela est un motif suffisant pour la qualification de viol dans ce cas les hommes désormais ont tout intérêt à faire chambre à part !
Autre truc extrêmement choquant de nos jours c’est que par exemple aux USA (qu’en est-il en France ?) on tend à ne plus distinguer un rapport sexuel forcé sur une personne avec laquelle on a habituellement des rapports sexuels et un viol sur une personne avec qui on n’est pas sensé avoir de tels rapports. Dans le premier cas il y a quand même une intimité pré-existante qui amoindri considérablement la gravité du geste ! Que l’on ne me dise pas qu’un rapport sexuel non consenti et un peu forcé avec son mari c’est la même chose qu’un viol dans une ruelle lugubre par un inconnu ou par son patron tyrannique ! Même si le deuxième scénario serait plus excitant et source de plaisir pour certaines femmes, en règle général se faire troncher par son partenaire habituel sans son sacro-saint consentement c’est quand même d’un niveau de gravité moindre !