René Guénon aborde dans le chapitre XVI dans son ouvrage "Le règne de la quantité et les signes des temps" ces questions économiques et leurs relations avec le sacré, le spirituel. Chapitre intitulé « La dégénérescence de la monnaie » à relier avec l’autorité spirituelle et le pouvoir temporel. et son autre chapitre « Vers la dissolution » p.175.

La « profanisation » de l’argent lui ôtant son caractère du Vivant de la Vie que lui confère le symbole Sacré dans une relation d’échange, et « le réduisant à son seul aspect quantitatif, on a fini par ne même plus concevoir que la monnaie soit autre chose que la représentation d’une quantité pure et simple. ».

Le symbole est ce qui réunit. S’il n’y a pas du symbolique dans l’échange que seulel’Autorité spirituelle confère dans un échange, un Tiers absent certes mais Présent dans les Cœurs (on retrouve-là le Trois de la Trinité) et bien l’échange est faux, illusoire, trompeur, vicié, dégénérant, futile.

Les banques vont morfler : elles pourront piller les comptes des particuliers, des entreprises. Elles s’appauvriront encore, encore et encore plus ... Elles ne pourront refaire surface, s’engloutiront elles-même d’où liquéfaction par tentatives de monnaies dites électroniques ...

Toutes les monnaies mondiales dont évidemment le $ chaîne de « l’esclave du moderne » piégées dans le diabole=diabolique binaire stérile : elles ne font plus symbole Vivant que seul confère une Autorité spirituelle.

Je dirai que cette Autorité a fui notre monde. L’Esprit du Vivant, de notre Père à tous, la Source même en nos profondeurs, Celui de notre Ciel intérieur que nos âmes contemplent, est en retrait, donc inaccessible. IL a fui. Vous êtes des malades restez-y, malades car le Mal est en vous-mêmes ....

Et la violence qui s’exerce par pression économique sur les particuliers ? celle des marchés des marchands du Temple.

Les décideurs n’ont pas compris, intégrés au sens du Vivant† : Le royaume des cieux appartient aux violents. Il ne s’agit pas de la violence extérieure pour gagner des marchés par la force et la ruse, mais celle d’une force d’exigences envers soi-même.

« Prends ta violence en main : elle est ta richesse et transforme-la en amour.  » 8’ d’écoute d’Annick de Souzenelle sur cette question.

https://www.youtube.com/watch?v=p3c...

Quelle CONFIANCE dès lors en toute politique économique des marchés, et des décideurs/violeurs des cénacles bilderbergiens ... Ivres de mortes marchandises !