Les féministes commencent à regretter la drague…
6 septembre 2019 02:55, par bardamuVoilà ce à quoi cela me fait penser :
https://www.youtube.com/watch?v=Qn_...
https://www.youtube.com/watch?v=3-C...
Plus sérieusement, c’est attristant de faire l’état des lieux tant de l’évolution des modalités de rencontre HF (tinder, ...) que de la mentalité féminine (ne serait ce que le désir d’ascension hierarchique, et la recherche d’un homme avec un statut social et un potentiel de superficialité convenable aux critères des photos instagram, plutot que la quête d’un homme vrai, droit, et romantique). C’est d’autant plus triste lorsque la vision de l’amour que l’on s’est forgé dans l’adolescence et le début de l’age adulte est celle des grands poètes français : Lamartine (’L’isolement’, ’Le Lac’, et tant de chefs d’oeuvre mélancoliques et profonds), Stendhal (et son phénomène de ’cristallisation’ dans ’De l’Amour’), ou Rostand (Cyrano et sa quête éperdue de l’une et l’unique, à voir le film avec le génial Depardieu). Se rendre compte que finalement ce romantisme de l’âme, cette poésie du cœur, cette qualité de l’esprit n’est finalement aujourd’hui que bien peu de choses dans le domaine de la conquête amoureuse par rapport au potentiel financier et d’apparence (même pas de beauté physique en soi), ca donne juste envie de retrouver sa chère solitude, à la Thoreau, ou une vie nomade..
Dommage car comme disait Céline, "l’amour c’est l’infini mis à la portée des caniches", et c’est triste lorsqu’on en arrive à être totalement résigné quant à la possibilité meme de sa survenue..
Ce qui est rassurant c’est qu’au final tout amour mineur bâti pour des raisons purement superficielles ne tient pas, et finalement c’est bien la meilleure preuve que le vrai AMOUR, fait de tendresse de l’âme et de discussion de l’esprit, existe encore. Et les féministes de l’extrême s’en rendent compte lorsqu’elles se retrouvent seules avec leur chat à la cinquantaine, réalisant que la soi disant liberté à laquelle elles aspiraient dans leur jeunesse (basée sur la superficialité et la quantité) n’était que le socle de leur désœuvrement affectif futur. Idem pour les hommes qui n’auront jamais été capables de penser autrement qu’avec leurs b..es, oubliant les besoins de l’âme.
Le temps et la vieillesse viennent de toute façon rappeler au cœur et à l’esprit leurs vrais besoins, une fois le corps sur le déclin.
Tout vrai homme ne veut pas une p..e mais une Muse. Même nombre de lettres et juste deux consonnes de différence, mais ça suffit à changer une vie..