Il faudrait faire admettre une fois pour toutes que les rapports hommes femmes (comme d’ailleurs les règles de la grammaire) sont surtout réglés par les MOEURS, les coutumes, les usages, qui sont si complexes et subtils qu’ils le font très bien.
Faire intervenir la brutalité de la loi risque d’aboutir à quelque chose de grotesque puisque toute loi est neutre comme tout jugement est impartial. Car ce que veulent en fait les féministes, c’est avoir les juges pour eux. Donc des "juges partiaux" ce qui est impossible.Des juges comme en Union Soviétique qui ont jugé avant d’entendre la cause. Donc des juges qui ne sont pas des juges. Donc de détruire la société car c’est le juge qui est au centre de la société. Pas de juge, pas de société.
Déjà le législateur est embêté car il n’arrive pas à trouver la solution : comment rédiger une loi partiale qui donne raison systématiquement aux femmes que le législateur ne peut pas nommer comme catégorie juridique, et tort aux hommes ? On y est déjà parvenu avec les juifs en recourant au jugement de Nuremberg et en en faisant une loi-jugement. Pas joli joli mais la terreur règne.
Mais les femmes ? Peuvent-elles faire régner la terreur ? Toutes ces idioties finiront par produire des flux financiers en directions d’associations d’emmerdeuses qui s’enrichiront. Donc des convoitises. Donc des "protecteurs", car là où il y a femmes ET des flux d’argent, il y a des "protecteurs", autrement dit, des maquereaux. . Les femmes ne sont pas assez fortes pour garder seules le pognon. Hin Hin..
"C’est mon homme" disait Mistinguette, "Il m’ fout des coups !, il m" prend mes sous ! mais je l’aiiii- aiii me ! " Les Mecs vont avoir du boulot.