Donald est-il Yeltsine ou Poutine ?
Il ne le sait pas trop. Tantôt vacille, tantôt tergiverse, tantôt hésite, tantôt dit noir tantôt dit blanc. Semble préparer le terrain pour que l’Amérique redevienne "great again" puis donne des gages à l’Amérique "greta" et non grata qui se prend pour le gratin. Déconsidère Macron qui le mérite bien, mais aussi la vigne, la France et le vigneron. Son appui éventuel est toujours trop faible. Il se demande pourquoi l’incendie de Notre-Dame n’a pas été traité de façon plus arrosée, mais s’arrête là.
Il ressemble à un dirigeant intermédiaire, ni chèvre ni chou, décevant à répétition. Soit il s’affirme, soit il reste l’agent immobilier et l’organisateur de concours de miss, contraint d’en passer par les caprices de celui qui le sort de la faillite ou même celui qui invite ses pairs dans des îles vierges de toute moralité.