Chris Rock – Les femmes, la vie et le mensonge
24 juillet 2019 09:20, par EnkiLes femmes citadines en particulier et à fond dans le système, donc soumises ont pour « mec », le « système » autant dire le « maquereau » : contraintes à bosser l’unique salaire du mari ou du compagnon ne suffit plus, à gérer sa carrière et son existence en fonction des besoins de l’entreprise, sa grossesse, ses loisirs : tout a été planifié en amont pour qu’elle adapte sa vie privée aux contraintes de l’entreprise ou de l’administration et non le contraire ....
Cet intrus-proxo intervient dans sa vie conjugale, la soumet et lui rend la vie impossible. Le conjoint en est déstabilisé, il en souffre inconscient. Il n’a plus une femme debout, aimante, accueillante, sereine, mais un ersatz de femme, dont l’« animus » gonflé d’orgueil dans la journée arrive crevée à la maison.
Pour elles et leurs compagnons de vie :
« Ce n’est pas un signe de bonne santé mentale que d’être adapté à une société malade » – J.Krishnamurti
et ça ne peut qu’empirer tant que « Comprendre l’emprise de l’Empire » n’a pas été déjà intégré mentalement dans ses principales dimensions et reliés à votre vie particulière. Dans le théorique, EST le Théos, EST le principe, le Prince.
+ tu es soumis, + le système (ensemble de procédures décidées en amont) te fera ton procès personnel (notations par ex.) et s’adaptera encore à ta soumission et te demandera toujours un peu plus de soumission, puisqu’il leur faut baisser le coût du travail. Ainsi, devenir polyvalent pour répondre à une absence de personnel. Puis libérer un poste ou un 1/2 poste afin que tu fasses le boulot toi-même et payé évidemment à coup de lance-pierre ...
Les femmes très mal(ades) au boulot. Elles compensent donc. Toutes un fond dépressif. Les hommes le ressentent et ne le supportent guère, ce n’est pas dans la culture traditionnelle de la gent masculine et pourtant, ils s’y efforcent.
Les hommes au travail pénible (ex.Bâtiment) ont les réflexes, le conditionnement ataviques des soldats sur un champ de bataille. Ils affrontent. pas dans le psychologique à tout va.
Les femmes pas faites pour être soumises à de la perversité. Les « Adam » n’ont plus d’ailleurs. ils ont cependant conservé la mémoire atavique de leurs ancêtres, race, et luttes, armés génétiquement pour lutter et vivre la mort, dans le sacrifice physique.
Ce sacrifice, du faire sacré, la femme l’éprouve atavique en la maternité et consécration en son foyer.
Aux antipodes de la vie réelle chez Amazon ton procureur !