La SNCF en pointe du mondialisme : un TGV aux couleurs LGBT !
11 juin 2019 05:32, par SocradeLa SNCF n’est pas en pointe du mondialisme mais du crétinisme christique.
La célébration des LGBT est la célébration purement christique de derniers qui sont des premiers en droit moral christique. Comme tout le monde l’élite mondialiste est soumise à ce système idéologique d’inversion des valeurs qui contrôle la planète depuis 2000 ans parce que comme tout le monde elle est incapable d’en proposer un autre, car c’est extraordinairement difficile de définir un Bien humain universel*
Bien sûr pour anéantir ses opposants l’élite mondialiste utilise le christisme en tapis de bombes d’accusations d’antisémitisme, fascisme, sexisme, x.phobisme etc. c’est à dire d’accusation d’oppression de derniers-qui-sont-des-premiers : ça reste de la soumission totale au christisme.
Si vous êtes catho vous allez me rétorquer Charité, Miséricorde, Amour, c’est à dire valeurs positives : ça ce sont les deux microns du vernis doré qui vous a hypnotisé et qui sépare la Charité (positive) de la dévastation de la France par l’immigration (le vrai truc agissant et réel, le négatif d’inversion du dernier-en-premier, de l’inversion du migrant en terreur d’être accusé de racisme)
On est pas dans une société chrétienne de Charité et de Miséricorde mais dans une société christique d’accusation permanente d’être un premier en puissance d’opprimer des derniers : vous êtes certainement d’accord avec ça, mais alors pourquoi ? pourquoi la Charité ne marche pas ?
Parce que l’humain recherche en permanence l’unité logique profonde des choses qui est derrière la surface. Par exemple quand vous écoutez un nouveau morceau votre esprit cherche à décoder l’unité tonale, la résonance fondamentale qui unifie logiquement le morceau.
Les valeurs positives du Christianisme c’est la surface explicite, déclarative et la rhétorique d’inversion morale c’est la logique profonde, celle qui prend le contrôle des esprits dès qu’il s’agit d’avoir une existence publique, ce qui implique d’opérer au nom du Bien et surtout ne pas se faire détruire au nom du Mal (antisémitisme etc.).
*mais possible à mon avis à partir d’un concept d’anti-prédation, bien meilleur que les concepts anti-propriété/anti-autorité de l’anarchisme ou anti-capital du marxisme, car plus général et plus naturel à assimiler, l’anti-prédation permettant de proposer un fonctionnement social allant très au delà de la démocratie, qui est limitée à la prédation du pouvoir politique.