Partie 1/2 :
Bilal,ou qui que ce soit d’autres,peuvent faire de leurs corps et de leurs vies ce que bon leur semblent,mais sans oublier qu’ils sont en France. On touche là à un gigantesque problème,celui du plein respect d’une nation,quelle qu’elle soit.
Pourquoi en Inde,si on se comporte mal avec une vache,c’est considéré comme une profanation. Et cela se respecte. Pourquoi,en France insulter le Christ est considéré comme un acte"normal",et cela sous prétexte qu’on est dans un pays laïc. Non,une procédure,fut-elle une loi,doit s’inscrire dans le respect total de la civilisation et de l’histoire d’une nation. Cette civilisation,est bien entendu est faite fondamentalement
de dogmes,de croyances et de valeurs. Et une loi qui méprise ces postulats est à considérer comme attentatoire à l’âme même du peuple. Le sacré,lui,est au dessus des lois.
Les apprentis politiques,ne parlent que d’économie,d’emplois,de balance de paiements. C’est fondamental. Encore faut-il comprendre que la vie d’un peuple est un tout.Le citoyen n’entame pas la journée en glissant dans la politique,puis dans l’économie,ensuite dans le culturel,etc...au gré des circonstances. Un de nos vénérables professeurs de mécanique quantique,nous disait que la nature n’a pas rangé l’optique dans un coin,l’électricité dans un autre,etc...Tout est mélangé. Le cloisonnement des disciplines scientifiques est dicté par des considérations purement pédagogiques. C’est pour cela que le concept de"français de souche"est un concept central. C’est ce qui fait d’ailleurs l’âme du peuple français. Ce n’est pas parce qu’un tel,ou tel a obtenu la nationalité française,en mettant à profit une procédure,et en se glissant dans un prénom français,qu’il obtient systématiquement je ne sais quel droit de piétiner toute une nation. ( À suivre sur Partie 2/2 )