2/2. Jusqu’ ici, je n’ai pas parlé de la langue véhiculaire même si je l’ai fait sans le dire pour mettre l’accent sur le côté expressif de la langue, c’est-à-dire le côté qui permet d’échanger des émotions, des visions, des idées peu ou prou codées, des informations diverses qui rendent compte de nos actions diverses de peu ou de grande importance quoique beaucoup de nos actions nous restent cachées et sont commises dans le secret ou couvertes par le mensonge lorsqu’elles sont difficiles à cacher ou à nier, travail dévoué aux communicateurs, nos modernes clercs d’aujourd’hui, quoique les clercs anciens selon leurs religions respectives ne sont pas laissées au chômage.
Pour terminer, j’ajouterai que si seulement le contrôle se fait sur un langage d’expression particulier, il n’y a pas de quoi fouetter un chat, mais le contrôle se fait sur l’ensemble des langages : le langage scientifique, le langage juridique, le langage architectural, les langages des arts visuels ( cinéma, peinture, art graphique...), des arts sonores ( musique, chant, bruitage), et la liste est longue.
La CENSURE qui est le sujet de cet article n’intervient pas tant que tout est sous contrôle et qu’on a les moyens de contrer les manifestations négatives à notre encontre ou qui dérangent nos assises. En fait, la censure n’est pas néfaste pour elle-même. Parce qu’on peut l’appliquer pour contrecarrer la propagande d’un adversaire plus fort que soi pour se protéger contre lui et ses désirs de nous corrompre. On peut l’appliquer pour différentes raisons raisonnables. la censure est un sujet assez délicat, elle a des vertus et des défauts.
Les États-Unis qui prônent la liberté d’expression, ce n’est pas pour sa défense puisqu’il pratique une censure insidieuse, mais pour que leur propagande puisse circuler librement. Pour les pays qui n’ont pas les moyens qu’ont les États unis pour contrer leur propagande, c’en fait d’eux.