Les poutres en chêne de notre dame sont calcinées, le plomb vaporisé, c’est l’évidence de trop hautes températures. Certains, qui n’ont pas peur d’être traités de complotistes et qui ont gardé tout leur esprit malgré la recommandation de Manuel Valls, n’ignorent pas les nombreux témoignages des semaines plus tard de flaques métal fondu, de poutres incandescentes et d’acier qui coule dans les décombres des tours jumelles, ce qui n’a jamais été observé avec d’autres incendies de bâtiments semblables. David Ray Griffin a rapporté le sophisme ou l’aberration de la logique des conclusions du NIST : « Les enquêteurs et autres experts du NIST n’ont pas trouvé d’éléments indiquant la fusion d’acier dans un incendie allumé par le carburant d’avion à réaction dans les tours avant leur effondrement (…) L’état de l’acier dans les décombres des tours du World Trade Center, c’est-à-dire s’il était ou non en fusion, n’est pas pertinent pour l’enquête en ce sens qu’il ne donne aucune indication concluante sur l’état du métal au moment où les tours étaient encore debout ». Avant l’effondrement ? Au moment où les tours étaient encore debout ? Mais cet acier fondu ne serait-il pas la conséquence de ce qui a fait s’effondrer les tours, puisque cela ne peut pas être l’incendie ayant la température maximum qu’il est censé atteindre ?
C’est comme si on nous disait que l’état du plomb dans les décombres de Notre-Dame, c’est-à-dire s’il est ou non vaporisé, n’est pas pertinent pour l’enquête en ce sens qu’il ne donne aucune indication concluante sur son état au moment où la charpente étaient encore debout.