« Avec ces accusations sexuelles, Julian Assange tombe de son piédestal."
Sur le piédestal qu’ils se sont fabriqué, ne montrant que la face et s’auto-glorifiant, il y a les ennemis d’Assange, qu’il a exposés pile et face, en toute objectivité scientifique (documents imparables) puisqu’ils veulent tellement se montrer. Avec ce genre d’accusation "sexuelle" (ils font aussi dans la scatologie, lu dans la presse anglaise) ou plutôt d’inversion accusatoire, ils ne tombent pas, ils s’écrasent comme des étrons. Ils tentent, tout souillés, de salir autrui, avec ce qu’ils connaissent bien et dont ils sont enduits.
Ces accusations "sexuelles", ici de la farce, avec les détails toujours intimes et répugnants utilisés pour tenter de dégrader les êtres dotés d’esprit, violent la vie privée et la personne d’Assange et sont de véritables atteintes aux droits de l’Homme. Homme dans les deux sens ; atteintes à la dignité de la femme aussi d’ailleurs, salie dans l’histoire : c’est une balance, une calculatrice, une méchante, une idiote, une femme facile, peut-être une menteuse. Ce type d’accusation, portant sur des relations entre deux êtres humains consentants, doit être absolument interdite pour la salubrité publique, la dignité de l’être humain, et jamais acceptée par la justice. Les gens ont leur vie, qu’ils s’arrangent comme des adultes. C’est la décence commune, tout simplement, de respecter les moments intimes des personnes.