Lagerfeld, c’est le monde du luxe, de l’inutile.
Il n’a pas dépoussiéré la haute couture (secteur professionnel dans lequel exercent les créateurs de vêtements de luxe), avec ou sans lui, la mode continue ses tours de bonneteau, le fric s’exhibe, c’est tout.
Y’a aucune création, dans toutes ces conneries.
Juste du recyclage "au goût du jour".
Donne-moi du vêtement militaire, du vêtement de travail, utilitaire, taillés pour des hommes, voilà, c’est tout.
On veut pas faire les minets, briller en société, juste être confortable dans la vie de tous les jours.
Et pour les femmes, dans le film Des hommes sans loi (Lawless), réalisé par John Hillcoat, sorti en 2012, le personnage de Bertha, habillée traditionnellement, lorsqu’il lui est offert une robe "de la ville", du "progrès", elle s’enlaidit immédiatement : ce n’est pas le propos du film, mais dans le détail de la corruption, ça y est, c’est visible et constatable, autant que le goudron servi chaud avant les plumes.
La mode n’est qu’une petite lubie facho, capricieuse et inadaptée.