La fermeture du site est déjà actée tout comme l’emprisonnement de son président et celui de ses proches collaborateurs. Viendront ensuite les poursuites contre les contributeurs, les membres du bureaux, les adhérents, les militants et sympathisants, ça n’est qu’une question de temps.
Après la censure pure et simple, la propagande à flux tendus dans les médias mainstream, la fabrique de l’opinion par les instituts de sondages, les bidouillages électoraux, les fake news gouvernementales, la falsification des données économiques, démographiques, sanitaires, médicales, pédagogiques par les organismes d’État en charge de les collecter et de les analyser, la résurgence du délit d’opinion, la transcription dans le droit commun de mesure d’exception (état d’urgence permanent), le fichage des manifestants, puis l’interdiction de manifester, la république maçonnique étoffe son arsenal répressif contre l’opposition réelle en criminalisant ceux qui sont les vecteurs ou les artisans d’une émancipation politique sérieuse.
La start up France est devenue une entreprise de manutention des consciences au service des marchés dans laquelle le corps civique est régulièrement convoqué aux urnes pour consentir à sa propre servitude et se faire détrousser par une minorité invisible à l’oeuvre dans les coulisses de l’Etat profond.
La démocratie dont se prévalent tous ces chercheurs d’État, est une fiction politique et légale qui peine à dissimuler sa véritable nature oligarchique et totalitaire.
Bientôt des prisonniers politiques et des camps de rééducation pour les gaulois réfractaires, pour tous ceux qui ne pensent pas printemps, pour tous ceux qui ne partagent pas le projet présidentiel, pour tous ceux qui coûtent un pognon de dingue...