Alain Soral – Étienne Chouard – François Ruffin : le nouvel axe du Mal
22 décembre 2018 10:32, par Jean GermainSi vous réfléchissez bien c’est un peu ce que disait Drac. Oui c’est populaire maaaiiis . Oui ils ont faim maaaiiiiis, Oui il faut changer de politique maaaiiiis. Ce type ne fait pas de la prospective mais de l’intox. Est-ce pour se faire pardonner d’avoir (encore) mal pronostiqué les évènements ?
Pour les lobbies sionistes, la lutte des gilets jaunes détricotent la fine couche d’hypnose historique créée par leur ingénierie sociale depuis 90 ans. Aujourd’hui ils ne peuvent que composer avec. Mais comment les ré-canaliser sans que rien ne change. Les Gilets Jaunes sont le peuple qui vit loin des grandes villes mais qui voit les dérives d’un communautarisme exacerbé dans sa propagande grossière du blanc niais et fasciste. De fait les lobbies et les rouges avaient combattu vigoureusement le FN, infiltrant le FN lui-même.
Après l’acte 3, Marine Le Pen a demandé aux gilets jaunes d’arrêter les manifestations, preuve évidente de son ralliement au système de domination. Les gilets jaunes n’ont pas écouté. Ne voulant pas laisser un mouvement social sans la guache, l’agent Mélanchon a suivi le mouvement jaune, espérant le retourner par la suite en vidant le R.I.C., martelé par les agents youtubeurs typés, de sa substance.
Le président puis le premier ministre ont fait des annonces minables et le mouvement des G.J. à continué. Ils ont élaboré 40 puis 25 propositions. L’une d’elle est le référendum d’initiative populaire. Mélanchon qui était obligé de suivre laissa à Ruffin le soin d’en parler à l’assemblée nationale, mettant en cause publiquement le fonctionnement de la démocratie en France. C’est là que lobbies lumineux ont sonné les trompettes de l’apocalypse à venir, comme il le font depuis le début de la révolte jaune. Cà rendait l’infiltré Ruffin crédible et montrait aux investisseurs qu’ils étaient toujours les gardiens du troupeau de moutons.
La colère des G.J. qui était contre Macron et ses taxes s’est transformée alors en critique du mondialisme et des élites. La communauté des élus est bloquée, elle ne peut donner la parole au peuple ni à Macron. Elle ne peut qu’insulter et menacer. Mais dans ce cas elle montre qu’il y a deux forces en présence et que c’est elle qui est au pouvoir et non les institutions. L’étau se resserre sur eux, sur nous et notre avenir.