Qu’ont à voir les racistes et les fascistes (selon les anti) avec ce qui concerne ce texte sur les migrations ?
Car dans l’absolu, il est - si l’on réflechit trois secondes - quasi possible que nombre de fascistes, voire nombre de racistes et tout autant de nationalistes, de tous pays, capables de se réunir sur un socle de principes communs alors même qu’ils sont étrangers les uns aux autres... Et ô combien !
Un nationaliste français, un nationaliste wallon, un nationaliste flamand, un nationaliste kanak, un nationaliste corse, un nationaliste français, un nationaliste coréen, un nationaliste rastafari, un nationaliste irlandais ont des objectifs parfois antagonistes et à fortiori pas la même couleur alors qu’ils disposent tous, de la même colonne vertébrale leur servant d’axe idéologique vertical.
Ce sont ces Onusiens et ces anti- qui se foutent de la gueule de peuples au regard de leurs particularismes : pas lesdits peuples, ni même les nationalistes qui ont, à l’inverse, une haute opinion de leur ancestralité et de leur devenir : ce qu’ils accordent aux autres, de l’autre côté de la frontière. Frontière qui fait chier le Capital qui n’en veut pas et embauche les collabogôchistes qui ne bandent que pour leur Internationale ouvrière dont ne veut plus aucun peuple, ni aucun ouvrier : pas plus qu’ils ne veulent - à la réflexion (encore faut-il la poser) - des dettes engendrées par le Capitalisme et son consumérisme influencé, à crédit et empreint d’obsolescence programmée.