Dominique Reynié : "Le populisme n’est pas un mouvement populaire, c’est une entreprise politique"
4 novembre 2018 00:05, par julotFaudrait m’expliquer ce qu’il entend par paupérisation immatérielle, alors que toutes les structures étatiques censés jouer leur rôle dans cette guerre économique qui détruit des emplois, sont systématiquement démantelées.
C’est quoi le projet ? La croissance par la consommation ? Destruction des états pour faire du monde un immense supermarché ?
Oui le peuple quel qu’il soit, d’où qu’il vienne, n’est pris en compte par ces chères élites que comme équation dans un marché qui a besoin d’un côté d’esclaves producteurs de richesses et de l’autre des consommateurs pour alimenter les fameux marchés derrière lesquels les élites apatrides (oligarques) organisés en Mafia tondent au grès des périodes historiques les prolos du monde entier.
Pas étonnant que les populismes ont le vent en poupe puisque les peuples commencent à percevoir l’arnaque mondialiste que l’on nous a vendu comme le meilleur des mondes !
Le seul moment où je suis d’accord avec les intervenants c’est sur Steve bannon qui est mandaté par l’administration Trump pour liquider l’Europe et qui finance tous les mouvements à la Salvini afin d’atteindre in fine l’Allemagne de plus en plus impopulaire auprès des états du sud de l’Union qui trouvent un second souffle dans l’ultimatum qu’adresse l’Italie à Bruxelles.
N’oublions pas l’accueil fait à Marion au CPAC puis l’ouverture de son école (ISSEP) pour futur élite politique Française à la manière des French Leader de French-American Foundation.
La messe est dîtes et elle nous entraine une nouvelle fois vers une escalade des tensions entre le bloc Occidental Américano-Sioniste et le bloc Eurasiatique Sino- Russe avec comme zone tampon l’Europe.