L’"Etat" français persiste et signe dans la haine.
Encore un déni de justice monstrueux envers qui ose se défendre dans ce pays, surtout face aux agresseurs antifas / militants gaucho-haineux (pléonasme) et autres pseudo-terroristes en herbe.
Déni de justice dont les frontistes sont coutumiers.
Les agresseurs étaient méric et son équipe, on le sait, tout a été filmé, peu importe que cette justice aux ordres, cette justice corrompue jusqu’au trognon, ait le culot de persister à inverser les faits et les rôles.
Nul n’est dupe de cette psy op.
Il n’y a aucune violence volontaire, seulement le droit de défendre sa vie face à des agresseurs ayant la volonté d’en découdre par un passage à tabac minutieusement et sournoisement planifié dans le but de blesser voire de tuer Esteban et ses amis.
La mort de l’agresseur a été provoquée par sa haine, sa violence, ses méthodes à vomir, par sa constitution fragile et par des circonstances (KO en un coup, puis achevé par sa chute contre un potelet) que l’on n’est pas obligé de déplorer. Il n’avait qu’à éviter le potelet durant sa chute. S’il a choisi de se vautrer contre pour ensuite se victimiser, selon les éternelles petites tactiques des minables, Esteban n’y peut strictement rien.
L’avocate de meric est une ordure calomniatrice. Elle n’a pas à se prononcer au nom de la vérité à partir d’un jugement inique d’une cour abjecte, qui ne fait que se prononcer quoi qu’il en soit sur la pseudo-réalité juridique et non sur la vérité.
Et la mère qui instrumentalise la mort de son leucémique de fils... à vomir.
Il ne faut pas négocier : il faut riposter. L’Etat corrompu français a haineusement décidé de se faire complice d’un double déni de justice : empêĉĥer Esteban d’être reconnu innocent, mais en plus lui nier son statut de victime en état de légitime défense et ayant droit à des réparations.