Le Sénat rejette le projet de loi contre les fake news
19 juillet 2018 11:33, par Patriote
Lorsqu’on veut faire passer quelque chose d’inacceptable, il faut toujours en demander beaucoup plus, provoquer peurs indignation et révolte, puis faire semblant de lâcher du mou et proposer une loi beaucoup plus souple mais qui ne serait jamais passée sans ce subterfuge tant elle est régressive pour le droit la liberté et l’intérêt commun.
Ne pas oublier avant ça une campagne de modification de la pensée sur les merdia : émissions avec humiliations et dérisions d’un représentant de l’opposition (JCVD avec ruquier), faux débats avec faux spécialistes, déversement de statistiques fallacieuses, chansons (indochine à fait ses choux gras de la théorie du genre, je suspecte le chanteur compositeur d’avoir été le seul conscient, les autres pensant qu’ils étaient doués...) et, encore en amont, introduction (juste un doigt au début) de la problématique dans les séries merdovisuelles comme "poubelle la vie" ou "scènes de séfarades", plus établissement d’un fond moral de remplacement pour adapter la structure de valeurs du spectateur.
Maintenant que le vers est dans le fruit, il suffit de continuer à taper encore et encore et un beau jour, quand l’opposition connaîtra un coup de mou, hop on passe la loi le jour du grand chassé croisé juillet aout ou la semaine d’un attentat.
Ah, j’allais oublier, créer de toutes pièces des exemples de ce qu’on veut combattre : Il n’y a pas que les attentats qui fonctionnent, pour justifier des radars fixes partout il a fallut des morts de bébés en poussettes éclatés par des voitures à 200km/h en ville et autres destruction odieuses de vies par des véhicules dans des cas qui pourtant n’ont strictement rien à voir avec le mouton visé par la tonte de la répression routière. Ce n’est pas en mettant industriellement des amandes au travailleurs et vacanciers qu’on arrête les délinquants bi nationaux de bafouer la vie avec des voitures de sport volées. Pourtant ça marche, preuve de l’efficacité du procédé et de la débilité du français moyen.
Donc bon, tout n’est que question de temps...