La question est complexe, c’est vrai.
Pour autant, on a parfois l’impression que certains magistrats défendent plus le droit que les victimes elles-mêmes Alors que d’autres libèrent des violeurs sans que leur responsabilité pénale ne soit engagée lorsqu’ils récidivent.
D’autres enfin, c’était le cas de Me Lévy en son temps, déclarent ouvertement n’éprouver que du mépris pour les victimes et considèrent que les seuls êtres dignes de compassion sont les coupables (un des effets traumatiques de la circoncision du 8ème jour ?). Ou l’inversion accusatoire érigée en principe juridique.
Les magistrats, politiques et journalistes travaillent de concert pour mettre en place un agenda occulte dont les termes et attendus sont élaborés par des instances internationales et mis en oeuvre à l’échelon national par les loges franc-maçonnes.
Je pense que l’affaire de la jeune Sarah est en fait un prétexte pour travailler l’opinion et parvenir in fine à un abaissement de la majorité sexuelle. L’horizon étant à terme, la dépénalisation de la pédophilie.
Quelle cohérence entre le non-consentement automatique envisagé dans un premier temps et les programmes d’éducation sexuelle déployés dans les écoles ?
Comment peut on considérer qu’un mineur de moins de 15 ans est forcément non-consentant dans le cadre d’un rapport avec un adulte et dans le même temps inviter les enfants à revendiquer pour eux-même des droits sexuels ?
"L’enfer est, dit-on,pavé de bonnes intentions". Je crois que ce débat parlementaire en est la parfaite illustration.