Sa Sainteté le pape Jean-Paul II avait proposé la fidélité comme l’ultime rempart contre le sida et bien entendu, autres M.S.T.
Même si cela n’implique pas forcément le mariage républicain ou religieux, cette solution peut toujours fonctionner pour un couple d’homosexuels.
En effet, quand on est fidèle, le préservatif redevenait un moyen de contraception comme un autre avant d’être une barrière contre toutes les M.S.T.
Je me souviens qu’à l’époque de la position de Jean-Paul II, cette idée avait été largement déformée en prétendant que le pape était simplement contre le préservatif pour que les opposants cachent consciemment ou pas l’essentiel :
Depuis des années, la société déchristianisée ne se préoccupe pas d’une tendance réelle, celle de la consommation sexuelle du corps de l’autre sans le souci de son âme, blessant sans aucune exception les âges et les sexes.
J’ai approché cette association à une période de ma vie et je l’ai vite quittée.
Comment en effet préserver un mode de vie ultra-libéral et positiviste quand la science elle-même frappe par son impuissance à la protéger ?
Cela donne de la part de cette association ce slogan sur ce calicot illustré dans cet article : "C’est quand qu’on guérit ?" demandé de manière assez enfantine par ailleurs.
On ne guérit pas de la connerie. Il n’y a pas de vaccin contre ça.
Pour enfoncer le clou, j’aimerai vous partager ce documentaire américain méconnu des années 2000 sur la culture de mort de l’idéologie gay, The Gift de Louis Hogarth.
Le V.I.H. étant omniprésent dans le milieu gay, cela a crée une communauté dans ce milieu déjà très communautaire où la porte d’entrée est de se faire plomber volontairement par un séropositif.
Un joli cadeau en effet.
Il n’est malheureusement pas traduit.