Je me rappelle ce que ma grand-mère catholique et royaliste fervente me racontait à propos des femmes en politique :
"Dans la bassecour, deux coqs vivaient en paix quand une poule survint..."
A la vue de ce spectacle évocateur, il est bon de réaliser les fondamentaux anthropologiques et civilisationnels :
Ns chères femmes, mères et épouses doivent laisser les Capitaines à la manœuvre, au risque d’alimenter de tels spectacles, et bien d’autres dérèglements / déséquilibres, potentiellement catastrophiques !
Ceci dit, je désapprouve la non-maîtrise de "ses nerfs", névrose éructible, irrépressible pitoyable, de ce "démocrate" qui n’a su qu’exposer aux yeux du public sa défaillance émotionnelle ; la violence contre une femme ne saurait être justifée, surtout de la sorte : est la signature de la faiblesse.
Dans une société où l’homme est dévirilisé, où sa force est baffouée et étouffée à dessein, cette scénette nous rappelle que la femme est la gardienne du temple de l’émotion, c’est sa prérogative dans l’ordre naturel vertical.
Quiconque n’a pas fait le point introspectivement, un temps soit peu, et surtout arrivé à un âge mûr cet aspect psycho-social, s’expose à en payer les conséquences.
En outre, gageons que le résultat électoral prochain témoignera inévitablement de la sanction qu’il mérite.
En effet, cet homme aurait voulu se saborder, qu’il n’aurait pas fait mieux !
Son adversaire politique quant à elle, n’est peut-être pas une flèche, mais elle a son précarré naturel légitime comme éternelle roue de secours.
Lui, est tout simplement, un imbécile !