Pardon : je commente sans avoir voulu me gaufrer l’énième pitrerie du cuistre, vous ne m’en voudrez pas j’espère.
En ce moment, il est érectile pour les Kurdes syriens : OK, chacun ses goûts, chacun sa Ghouta, vive la liberté et le falafel et fuck the people.
Mais le jour où il ne sera plus là - le plus tard possible, espère l’industrie pâtissière - il nous fera des vacances.
Parce que lui, ça va vraiment être *très dur* de lui trouver un remplaçant. Je suppose qu’il y a déjà un clone en route quelque part ou une IA dopée à sa littérature en cours de développement (trois se sont déjà suicidées, paraît-il).
Ça fait au bas mot trente ans qu’il nous les brise. Alors, Yann Moix et Moix et Moix sera inconsolable, et on le comprend. Et c’est sûr que l’inoubliable cinéaste, le génial réalisateur va laisser un grand trou après lui.
Mais, notez, ça nous fera des bonnes vacances, et donc : beaucoup, énormément de bien.
Comme quoi, BHL recèle en lui une capacité insoupçonnée à faire déferler, sitôt que garé des mobylettes, un torrent de bonheur sur beaucoup, beaucoup de gens, tous douchés d’une félicité qu’ils ne soupçonnaient même pas.
Sans compter tous ceux qui éviteront un bombardement préventif de leur résidence principale. Ça compte, ça aussi.
Alors, même si, bien sûr on voudrait que ce moment n’arrive jamais - ou le plus tard possible, on peut néanmoins oser cette équation frappée au coin du bon sens :
BHL = Du Bonheur en Puissance.
CQFD.