Richelieu et l’éminence grise "En dix-huit petites années, (...) vont faire de la France exsangue des guerres civiles et religieuses la principale puissance européenne."
Une puissance s’appuie sur son armée mais aussi sur son économie florissante, sur l’intelligence d’une population industrieuse, les talents d’une élite très éduquée, et ses relations extérieures multiples et si possibles harmonieuses.
Brzez et ses potes, qu’ont-ils fait des US de 1979 à 2017, en presque quarante très longues années ?
Une puissance déclinante désormais appuyée sur la terreur, un pays appauvri sur tous les plans matériels et spirituels, un brouet de sorcière, une population en moins bonne santé. En fait une catastrophe.
Et le monde, depuis Brzez ? Il croule de partout et la populace idiocracyque croît comme un cancer.
La Pologne natale de Brzez ? Asservie à des brutes sanguinaires.
On ne saurait comparer Richelieu et Brzez. Le premier travaillait pour le bien d’un pays, objectif réaliste. En faisant du bien au pays, il en faisait au monde.
Le second ne pensait qu’à empêcher, détruire, appauvrir, humilier, démolir, saccager, saboter, comploter, briser l’âme.
Mission accomplie, et voici l’UERSS et ses maquerons pour perpétuer l’oeuvre trilatérale. Pleurons l’ancien monde de Richelieu et fêtons le passage à trépas de l’indicible, innommable, imprononçable Zbigniew, vrai gibier de potence, artisan des désastres.