Les "migrants" mettent le feu à leur camp de Grande-Synthe
11 avril 2017 10:32, par 9871
Le camp a coûté trois millions d’euros aux Français et donateurs. Financé à hauteur de 2,6 millions par Médecins sans Frontières. Et à hauteur de 500 000 € par la municipalité.
Ceux qui avaient "pris le contrôle du camp" (qui monnayent l’accès aux cuisines et douches et font payer un loyer pour l’hébergement, sans aucun droit ni titre ni investissement) étaient des Kurdes irakiens (paraît-il). Ce système est celui des bidonvilles internationaux. Mais c’est seulement en territoire chrétien dévoyé qu’on fournit le chalet et les structures communes aux frais du travailleur autochtone, avec les bras de "volontaires" sans doute rémunérés d’une façon ou d’une autre.
Ailleurs, le squatteur construit lui-même, de bric et de broc, du taudis avec ce qu’il récupère, en se posant clairement comme envahisseur de terrain, et est la plupart du temps lui-même un autochtone misérable. Il n’est jamais "accueilli" que par ses exploiteurs.
Deux leçons à tirer : pas de migrants en France, sauf exception chrétiens d’Orient en souffrance, avec préparation au retour dans leur pays. On récolte leurs mafias.
Et attention au logement en bois, très recommandé par les constructeurs et exploiteurs de forêt récemment (parfois chinois). Il peut partir en fumée et dévaste nos forêts.
Le feu a été mis en divers endroits, c’est donc très voulu.
Le coup pourrait avoir été commandité par la Turquie, ou un quelconque Soros. Ou être simplement l’initiative de jaloux. Pourquoi donne-t-on aux uns moins qu’aux autres ? C’est un casse-tête.
Et puis pourquoi accueille-t-on des "Afghans" (peut-être des daesh tout simplement, les nationalités étant notoirement fantaisistes) ? C’est une population endurcie, très dangereuse, avec laquelle la France n’a rien à voir. Ou même des Kurdes ? La Turquie s’en débarrasse et les utilise pour nous déstabiliser.
La France déversoir !