2/2
La molécule de vitamine B17 contient deux unités de glucose, une de benzaldéhyde et une d’acide cyanhydrique, le tout « verrouillé » ensemble. La seule substance qui permet le déverrouillage de cette molécule est un enzyme nommé β-Glucosidase. Lorsque la molécule est déverrouillée, les deux glucoses sont libérés, ainsi que le benzaldéhyde et l’acide cyanhydrique, deux poisons puissants, mais encore 100 fois plus puissants lorsqu’ils agissent en synergie. Heureusement, l’enzyme β-Glucosidase ne se trouve qu’en quantité infime dans les tissus normaux, mais en très grande quantité à la cellule cancéreuse ! Cela signifie que les poisons sont libérés à la cellule cancéreuse, et seulement à la cellule cancéreuse. De plus, il y a un autre enzyme important, qui s’appelle rhodanèse, qui a la capacité de neutraliser l’acide cyanhydrique en le convertissant en composés chimiques bénéfiques. Cet enzyme-là est présent en grande quantité dans tout le corps, sauf à la cellule cancéreuse qui, par conséquent, n’est pas protégée de l’acide cyanhydrique, contrairement au tissu sain.
De plus, il peut être utile de savoir que la cellule cancéreuse produit la même hormone que les cellules de l’embryon au début de la grossesse (hormone chorionique gonadotrope humaine, ou HCG). Un cancer est donc détectable avant même le moindre symptôme par... un test de grossesse !
Conclusion : le cancer est une maladie de malnutrition ou de carence. Tous ces cancers, toutes ces souffrances pourraient donc être évités de manière simplissime. Ce fait était connu dès les années 1950-60, mais la découverte a été étouffée par le cartel pharmaceutique, ce qui constitue probablement le plus gros scandale sanitaire de l’Histoire.